« BRISER LE SON » AVEC LES PORTES BLINDEES INSONORISÉES DIERRE

Sommaire de l’article :

1. Villes trop bruyantes et pollution sonore
2. Mais qu’entend-on par « bruit » ? Quelques exemples pratiques.
3. L’importance des portes blindées pour l’insonorisation et l’isolation acoustique
4. Si le bruit sort par la porte, mais rentre par la fenêtre
5. Focus : portes blindées insonorisées pour les appartements des copropriétés
6. Quand faut-il changer de porte blindée pour améliorer le confort sonore ?
7. Portes blindées insonorisées Dierre : sécurité et silence en une seule solution
8. Des portes blindées qui « brisent le son »
9. Nos meilleures portes blindées insonorisées

Villes bruyantes et pollution sonore.

La vie dans une grande ville a certes beaucoup de bons côtés, mais le silence n’en fait pas partie.

Les journées sont rythmées par les rues engorgées, les travaux en cours, les chantiers de rénovation et les activités commerciales, auxquels s’ajoute, dans la plupart des logements urbains, l’inévitable agitation propre aux immeubles d’habitation.

Toutes ces sources de bruit contribuent à la pollution sonore, certes invisible mais bien présente, qui menace notre santé.

Selon l’Agence Européenne pour l’environnement :

l’Agence européenne pour l’environnement :

« L’exposition à long terme au bruit peut avoir un certain nombre d’effets néfastes sur la santé, notamment l’irritabilité, les troubles du sommeil, les effets délétères sur les systèmes cardiovasculaire et métabolique, et l’altération des facultés cognitives chez les enfants ».

C’est pourquoi, parallèlement aux initiatives visant à réduire le bruit dans nos villes, il devient de plus en plus important de prendre des mesures technologiques pour l’empêcher autant que possible d’entrer dans nos maisons.

Mais qu’entend-on par « bruit » ? Quelques exemples pratiques.

Le décibel (dB) est l’unité de mesure de diverses grandeurs physiques, dont le son.

Ceci étant dit, nous pouvons considérer comme :

• « inaudible » un son d’une intensité comprise entre 0 et 60 dB ;
• « tolérable » un son d’une intensité comprise entre 60 et 90 dB (tant qu’elle n’est pas prolongée dans le temps) ;
• « nuisible » un son d’une intensité comprise entre 90 et 120 dB.

Toutefois, avec de simples chiffres, il est facile de perdre le contact avec la réalité : que signifie vraiment 60 dB ? Et 90 dB ?

Pour le comprendre, essayons de mettre ces valeurs en relation avec des situations concrètes.

0 db : silence absolu (mais il n’existe pas dans la nature !)

20 dB : un léger bruissement de feuilles.

30 dB : le bruit que l’on d’attend à percevoir dans une salle de lecture.

40 dB : une conversation à voix basse.

50 dB : de la musique douce.

60 dB : une conversation normale à 1 m de distance ; ou le bruit d’une rue où circulent 50 à 200 véhicules par heure, perçu à environ 35 m de distance.

Le seuil entre ce que nous appelons communément le « silence » et ce que nous appelons le « bruit » se situe à peu près à ce niveau.

70 dB : le bruit de fond d’un bureau avec des imprimantes en train de fonctionner, ou d’une autoroute ou d’une rue avec une circulation dense, perçu à une distance d’environ 50 m.

80 dB : le bruit que l’on perçoit dans des conditions de circulation particulièrement dense, à une distance inférieure à 50 m.

100 dB : un klaxon à 7 m de distance.

120 dB : discothèque, marteau-piqueur ; cette valeur marque le seuil de la douleur pour les êtres humains.

140 dB : un avion à réaction au décollage à une distance de 25 m.

On estime qu’en Italie, environ 65 % des citadins sont exposés à un bruit continu supérieur à 75 dB, ce qui est bien supérieur au seuil de 55 dB considéré comme nocif pour la santé.

Mais qu’entend-on par « bruit » ? Quelques exemples pratiques.

Le décibel (dB) est l’unité de mesure de diverses grandeurs physiques, dont le son.

Ceci étant dit, nous pouvons considérer comme :

• « inaudible » un son d’une intensité comprise entre 0 et 60 dB ;
• « tolérable » un son d’une intensité comprise entre 60 et 90 dB (tant qu’elle n’est pas prolongée dans le temps) ;
• « nuisible » un son d’une intensité comprise entre 90 et 120 dB.

Toutefois, avec de simples chiffres, il est facile de perdre le contact avec la réalité : que signifie vraiment 60 dB ? Et 90 dB ?

Pour le comprendre, essayons de mettre ces valeurs en relation avec des situations concrètes.

0 db : silence absolu (mais il n’existe pas dans la nature !)

20 dB : un léger bruissement de feuilles.

30 dB : le bruit que l’on d’attend à percevoir dans une salle de lecture.

40 dB : une conversation à voix basse.

50 dB : de la musique douce.

60 dB : une conversation normale à 1 m de distance ; ou le bruit d’une rue où circulent 50 à 200 véhicules par heure, perçu à environ 35 m de distance.

Le seuil entre ce que nous appelons communément le « silence » et ce que nous appelons le « bruit » se situe à peu près à ce niveau.

70 dB : le bruit de fond d’un bureau avec des imprimantes en train de fonctionner, ou d’une autoroute ou d’une rue avec une circulation dense, perçu à une distance d’environ 50 m.

80 dB : le bruit que l’on perçoit dans des conditions de circulation particulièrement dense, à une distance inférieure à 50 m.

100 dB : un klaxon à 7 m de distance.

120 dB : discothèque, marteau-piqueur ; cette valeur marque le seuil de la douleur pour les êtres humains.

140 dB : un avion à réaction au décollage à une distance de 25 m.

On estime qu’en Italie, environ 65 % des citadins sont exposés à un bruit continu supérieur à 75 dB, ce qui est bien supérieur au seuil de 55 dB considéré comme nocif pour la santé.

L’importance des portes blindées pour l’insonorisation et l’isolation acoustique.

Même si nos villes ont encore un long chemin à parcourir pour devenir plus silencieuses, il est néanmoins possible de prendre quelques précautions pour empêcher le bruit d’entrer dans nos maisons.

Les parties les plus exposées au bruit ambiant sont précisément les portes et les fenêtres qui donnent sur l’extérieur. Par ces ouvertures, s’il n’y a pas d’obstacle, le son peut facilement se propager.

Si le bruit sort par la porte, mais rentre par la fenêtre.

La prise de conscience de l’importance de l’isolation acoustique nous amène à être de plus en plus exigeants en ce qui concerne les fenêtres et les portes de nos maisons.

Or, si le choix des fenêtres fait l’objet d’une attention particulière, avec l’achat de modèles à double, voire triple vitrage, la porte d’entrée blindée ne bénéficie souvent pas de la même considération. Résultat : malgré l’investissement, le bruit s’infiltre toujours.

Afin de maximiser l’impact de l’investissement dans l’insonorisation d’un logement, il est préférable d’opter pour des portes blindées insonorisées, très performantes en termes d’atténuation du bruit.

L’affaiblissement acoustique est une valeur qui correspond à la capacité d’une porte ou d’une fenêtre à empêcher le bruit de la traverser : pour chaque augmentation d’un point de cette valeur, la perception du bruit est réduite et le confort acoustique est amélioré.

Focus : portes blindées insonorisées pour les appartements dans les copropriétés.

Outre les zones à forte circulation, les performances des portes d’entrée en matière de réduction du bruit sont particulièrement recherchées dans les immeubles d’habitation.

Les portes blindées à haute insonorisation empêchent le bruit du palier et de la cage d’escalier de pénétrer dans l’habitation et le bruit domestique de se propager à l’extérieur.

Quand faut-il changer de porte blindée pour améliorer l’insonorisation ?

Ces dernières années, la technologie des portes et fenêtres en matière de réduction du bruit et d’insonorisation des pièces a beaucoup progressé. En règle générale, une porte blindée vieille de 10 ans doit presque toujours être remplacée.

Pour les portes plus récentes, cependant, les matériaux et la technologie devront être évalués au cas par cas.

Portes blindées Dierre : sécurité et silence en une seule solution.

La meilleure porte blindée est donc celle qui garantit à la fois :

• sécurité
• isolation thermique
• isolation acoustique

Depuis 1975, l’objectif du Département R&D de Dierre est de réaliser cet objectif avec chaque produit proposé.

Et, avec chaque nouveau modèle, nous plaçons la barre un peu plus haut.

Le défi est de taille, car souvent les matériaux les plus performants pour un aspect en pénalisent un autre : la meilleure porte blindée est donc celle qui présente la combinaison la plus efficace de technologies et de matériaux.

Des portes blindées qui « brisent le son »

Le choix des matériaux et leur installation précise est le résultat de centaines de tests réalisés au fil des ans sur les différents modèles et configurations de notre gamme.

Nos portes blindées « brisent »  puis bloquent le son, grâce à une superposition précise de matériaux isolants, qui se succèdent à l’intérieur du battant : une couche fragmente l’onde sonore, grâce à ses capacités phono-absorbantes, tandis qu’une autre en arrête la propagation.

La disposition précise de ces matériaux dans une porte blindée maximise son effet d’insonorisation.

En même temps, les portes blindées Dierre garantissent les performances les plus exigeantes du marché en termes d’isolation thermique ainsi que le respect des standards de sécurité les plus sévères.

Nos meilleures portes blindées insonorisées.

Outre à respecter nos standards de sécurité les plus stricts, cette porte de sécurité design, d’une épaisseur de 63 mm seulement, offre une isolation thermique de 0,6 W/m2K et une isolation acoustique de 46 dB (contre une moyenne de 38 dB seulement sur le marché).

Sachant que chaque point supplémentaire dans la valeur d’affaiblissement acoustique améliore le confort acoustique et réduit ainsi le bruit perçu, c’est un excellent choix pour tous ceux qui veulent faire de leur maison une oasis de silence… Fenêtres et murs à l’appui !